"La formation d'un joueur de tennis coûte extrêmement cher pour ceux qui ambitionnent d'atteindre les sommets" , nous confiait Justine Henin dans une interview exclusive publiée la semaine dernière . Une réalité qui s'applique aussi à ceux qui évoluent sur le circuit ITF. Ce n'est un secret pour personne : vivre de la petite balle jaune au troisième échelon professionnel – derrière les circuits ATP et Challenger – relève souvent de l'impossible. Les dotations de ces tournois y sont dérisoires

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