Mandat d’arrêt de la CPI contre Nétanyahou : le malaise des autorités françaises
Balazs Barabas
L’Elysée s’est bien gardé de faire le moindre commentaire officiel. Le Quai d’Orsay a multiplié les déclarations, le plus souvent alambiquées. L’embarras des autorités françaises au sujet des mandats d’arrêt délivrés jeudi 21 novembre par la Cour pénale internationale (CPI) à l’encontre du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et de son ex-ministre de la défense Yoav Gallant, saute aux yeux autant qu’il interroge. Les deux hommes sont poursuivis par la Cour, dans le contexte de la
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