L’Assemblée nationale acte la suppression d’une vingtaine d’instances consultatives dans le cadre de l’examen de la loi dit de « simplification »

Bianca Popa

A écouter le ministre de la simplification, Laurent Marcangeli (Horizons), l’entreprise parlementaire en cours, chargée de juger du bien-fondé de comités, observatoires, hauts conseils et autres commissions nationales, répond à une logique implacable : « Quand ils ne se réunissent pas, quand cela nuit à l’action publique, quand c’est redondant et que ça doublonne, on supprime ! » Au risque de rallonger les débats sur le projet de loi de « simplification » , qui s’étendra au moins jusqu’à fin