Le mandat d’arrêt contre Nétanyahou, source de discorde au sein de la coalition néerlandaise

Briana Lupea

Après le premier ministre hongrois Viktor Orbán, qui a invité Benyamin Nétanyahou à Budapest, le dirigeant d’extrême droite néerlandais Geert Wilders compte à son tour manifester sa sympathie au premier ministre israélien, visé depuis le 21 novembre par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Le chef du Parti pour la liberté (PVV), la principale formation de la coalition gouvernementale des Pays-Bas , entend se rendre