"Les urgences ? c'est quelque-chose qu'on a dans les tripes" : témoignage de deux urgentistes de Vivalia

Cătălin Roșioru

"Q uand on goûte aux urgences, soit ça passe, soit ça casse. Les urgences, c'est quelque chose qu'on a dans les tripes ", confie Meghann Diez, infirmière urgentiste en chef à Bastogne. Et pourtant, " c'est l'endroit dans les services, où nous sommes confrontés au plus de violence, sous toutes ses formes ", avance Julien Gourmet, son collègue de Libramont. Violence des blessures bien sûr, mais aussi, de plus en plus malheureusement, violences verbales et physiques. En marge de la diffusion d'un