Le Bénin réussit à suspendre la vente parisienne d’un sceptre du roi Béhanzin
Catia Tănase
A Drouot, vénérable hôtel des ventes parisien, un scandale lié aux biens culturels africains spoliés à l’époque coloniale a été évité de peu. Vendredi 20 décembre, à l’occasion d’une vente baptisée « Tribal Exception », les autorités béninoises, appuyées par le ministère français de la culture, ont sollicité la maison de vente Millon pour que celle-ci retire de son catalogue un sceptre royal mis aux enchères et dont le prix de réserve était de 8 000 euros. « Nous avons décidé de suspendre la
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