« Tardes de soledad » : dans l’arène, la solitude du torero et du taureau
Cultura
Dans Pacifiction (2022) , l’Espagnol Albert Serra imaginait la déchéance d’un haut fonctionnaire en Polynésie française, et filmait Benoît Magimel dans la peau de cet animal politique râblé et soufflant, tournant en rond sur son île. Sa livraison suivante, Tardes de soledad , Coquille d’or au Festival de Saint-Sébastien (Espagne) en 2024, s’ouvre quant à elle sur les longues images d’un taureau s’ébrouant seul au seuil de la nuit dans un enclos indéfini, avant d’entrer dans l’arène terrible,
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