« Mickey 17 » : le joyeux bordel narratif de Bong Joon-ho
Flavius Niculescu
Figure centrale du renouveau du cinéma coréen dans les années 2000, Bong Joon-ho s’est imposé, un quart de siècle plus tard, comme un maître du cinéma contemporain, grand formaliste en même temps qu’amateur d’un cinéma de genre bien trempé dont il requalifie les termes à nouveaux frais. Trois titres (ses meilleurs sans doute) pour se rafraîchir la mémoire – le polar Memories of Murder (2003) ; le film de monstre The Host (2006) ; le film de vengeance sociale Parasite (2019), Palme d’or à Cannes.
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