Gardien du temple, le frère cadet de la chanteuse continue d'entretenir la mémoire de sa sœur et n'a toujours pas pardonné à François Mitterrand de n'être pas venu aux obsèques de Dalida. Paris Match. Trente-sept ans après sa mort, Dalida semble être toujours plus moderne. Comment expliquez-vous que le phénomène ne se soit jamais essoufflé ? Orlando. Durant sa carrière, Dalida a osé tous les styles. Elle est passée de 'Je suis malade' à 'Salma ya Salama', de 'Paroles, paroles' à 'Gigi l'amoroso'