Aux bombardements intensifs menés par Tsahal s’ajoute un blocus humanitaire dévastateur. Il faut s’imaginer une terre rasée où la survie s’arrache avec les dents. Un « film d’horreur », selon les mots d’ Antonio Guterres , le secrétaire général des Nations unies, dans lequel Mohammad Hassan Hussein se débat chaque jour sans entrevoir de fin. « Ce que nous vivons est indescriptible », témoigne ce père de sept enfants joint par téléphone alors que Gaza reste interdit aux médias étrangers après