« En Israël, en Inde ou en Algérie, beaucoup pensaient la sécularisation inéluctable et n’envisageaient pas un tel retour à la religion »
Israel
De l’Inde dirigée par le nationaliste hindou Narendra Modi, à Israël, dont le gouvernement compte des ministres issus du sionisme religieux, en passant par l’Algérie, où des groupes rebelles islamistes ont précipité le pays dans la guerre civile durant la « décennie noire » (1992-2002) : divers mouvements politico-religieux ont acquis un poids considérable dans des pays pourtant historiquement laïques. Dans Le Paradoxe des libérations nationales (PUF, 240 pages, 18 euros), le philosophe
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