Au procès des anciens cadres d’Ubisoft, la défense maladroite de deux salariées tentant de dédouaner l’ex-numéro deux : « S’il l’avait su, il aurait cherché à me protéger »
Statele Unite
Les deux salariées d’Ubisoft sont venues devant le tribunal de Bobigny, mercredi 4 juin, pour voler au secours de leur ex-patron, « un boss formidable ». Le patron, c’est Serge Hascoët, jugé depuis lundi pour harcèlement moral et sexuel et complicité de harcèlement, aux côtés de Thomas François, dit « Tommy », ancien vice-président éditorial, et de Guillaume Patrux, ancien game director . La veille, Serge Hascoët avait assuré n’être au courant de rien, se décrivant comme un « expert » passionné
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