Au procès Ubisoft, les justifications maladroites des anciens cadres accusés de harcèlement : « Les temps ne sont plus les mêmes »
Statele Unite
« Rien ne justifie le harcèlement : ni la création, ni la transgression, ni les impératifs de production, ni les difficultés personnelles. » Au procès d’anciens cadres d’Ubisoft, le procureur du tribunal correctionnel de Bobigny a requis, jeudi 5 juin, des peines allant jusqu’à trois ans d’emprisonnement avec sursis contre les trois prévenus. Ces derniers sont jugés pour « harcèlement moral et sexuel ». La réquisition la plus lourde a été prononcée contre Thomas François, ancien vice-président
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