De Moscou à Chypre, des studios de jeu vidéo tentent de faire oublier leurs origines russes

Ucraina

Fin octobre, à la Paris Games Week, le plus grand salon français du jeu vidéo, les visiteurs se sentant l’âme un peu chauvine pouvaient délaisser les longues files d’attente pour tester les blockbusters américains, comme le dernier Call of Duty : Black Ops , et essayer plutôt des créations françaises. Sur le stand « Jeux made in France », une bonne dizaine d’éditeurs allant d’Ankama (pour Savara ) à Arte (pour Looking for Fael ) présentaient leurs créations récentes ou à venir. A leurs côtés :