Fils de Waffen SS : « Quand votre père est un salaud, vous devez forcément vivre avec cette tache »
Ucraina
Cette scène, chaque fois la même, chaque fois un peu différente, les trois hommes en ont gardé une mémoire photographique. Pour Philippe Douroux, c’était au printemps 1972. Il avait 17 ans. Il était blotti dans un gros fauteuil en velours beige, dans le salon familial de la maison de Chatou, dans les Yvelines, surchargé d’hommages à Napoléon, dont son père, Alfred, était un admirateur. Le fils préférait les Beatles ou Led Zeppelin. Dans ce décor transformé en bivouac impérial, Alfred Douroux
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