« L’Etat de droit que défendait Robert Badinter est critiqué de toutes parts »
Uniunea Europeana
En choisissant de faire entrer Robert Badinter au Panthéon , le 9 octobre, quarante-quatre ans jour pour jour après l’abolition de la peine de mort, Emmanuel Macron veut-il d’abord saluer le parcours extraordinaire d’un avocat, devenu garde des sceaux, puis président du Conseil constitutionnel, ou rendre hommage aux combats intransigeants de ce dernier pour la défense des libertés publiques ? Le Monde a choisi de croiser deux regards pour tenter de répondre à la question. Professeur de droit
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