« Barbès, little Algérie » : une peinture hyperréaliste d’un Barbès entre misère et solidarité populaire

Mădălina Grigore

Il est rare qu’un attaché de presse de cinéma, profession bien connue des journalistes spécialisés, beaucoup moins du grand public, s’enhardisse à passer à la réalisation. C’est aujourd’hui le cas de Hassan Guerrar, 57 ans, dont quarante au service du cinéma, connu comme le loup blanc dans la profession pour son entregent et sa « grande gueule », où on l’appela longtemps « François » avant d’être prié, voici une quinzaine d’années, d’adopter son prénom d’origine eu égard à la reconquête de lui-