Fatigue, stress, trouble de la concentration, dépression… L'enfer des groupes WhatsApp
Sanatate
Ding ! Ding ! Ding ! Quand ça ne sonne pas, ça vibre. " Une fois que ça commence, ça n'arrête plus. En quelques heures, je peux recevoir une vingtaine de notifications WhatsApp et c'est juste pour un groupe de discussions. Quand ils s'y mettent tous, ça devient ingérable !" , témoigne Alix, 34 ans. À lire aussi "Le groupe WhatsApp de la classe de mon fils a dégénéré, ça m'a fait paniquer": Sonia, maman d'un enfant en première secondaire, témoigne Pour les spécialistes, cela illustre les limites
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