« Microsoft ne licencie pas à tour de bras pour affronter des vents contraires ; l’objectif affiché est celui de la performance »

Răzvan Țupa

W indows, Teams, les environnements de Microsoft évoquent un peu l’ Hotel California de la célèbre chanson des Eagles : l’accueil est sympathique, mais c’est compliqué d’en sortir. Un principe qui vaut quand on est client, bien sûr, beaucoup moins quand on est salarié. Microsoft, la deuxième entreprise la plus valorisée du monde en Bourse, pesant 3 650 milliards de dollars (3 090 milliards d’euros), vient de lancer une seconde vague de licenciements en moins de trois mois . Le géant américain a