Un magnat de la finance ouzbek kidnappé en plein Paris avant d’être relâché contre le paiement d’une rançon
Silviu Bucătaru
Kakhramonjon Olimov retrousse les manches de son élégante chemise en lin jaune moutarde, dévoilant les marbrures sur la peau de son bras. A l’Hôtel-Dieu, à Paris, le médecin qui l’a examiné le 25 juin a noté de nombreuses ecchymoses et des lésions, mais ce ressortissant ouzbek de 48 ans s’est surtout plaint d’une « hypervigilance » , de difficultés à s’endormir et de réveils en sursaut au milieu de la nuit. « Ça n’a pas été très agréable pour lui, mais, au moins, c’est passé » , traduit le
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