Au procès de l’attentat de Romans-sur-Isère, le délicat débat entre psychiatres sur la part de la folie et celle du terrorisme djihadiste

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Depuis quelques années, les attentats terroristes comportent de plus en plus souvent une dimension psychiatrique. Le procès de l’attentat de Romans-sur-Isère (Drôme) en est l’expression paroxystique avec un accusé, Abdallah Osman Ahmed, réfugié soudanais ayant poignardé à mort deux personnes et blessé quatre autres le 4 avril 2020, en plein confinement dû à la pandémie de Covid-19. Il dit ne se souvenir de rien et fait état dans les jours précédant son passage à l’acte d’hallucinations au cours

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