Au procès de Lafarge, la question centrale du dossier : les anciens dirigeants du groupe avaient-ils conscience de financer des organisations terroristes ?
CRH
Après une première semaine dédiée à l’examen des circuits décisionnels du groupe Lafarge - afin de comprendre comment avait été prise la décision de maintenir l’activité de son usine syrienne en pleine guerre civile entre 2012 et 2014 – le procès du cimentier a ouvert, lundi 24 novembre, un nouveau chapitre, consacré cette fois au cœur de l’infraction jugée : le « financement de groupes terroristes » que cette décision a impliqué. Durant la première semaine de débats, les anciens responsables
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