Face au nouveau pouvoir syrien, les Occidentaux temporisent, la Turquie et le Qatar cherchent à établir le contact, la Russie veut limiter la casse
Islam
Après la surprise suscitée par la chute du régime Al-Assad, renversé dimanche 8 décembre par l’offensive éclair des rebelles islamistes, les premiers pas du nouveau pouvoir sont scrutés de près par les capitales étrangères et les institutions internationales. Mercredi 11 décembre, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a assuré que l’ONU était « totalement engagée à soutenir une transition en douceur » . Celle-ci doit être « inclusive » , autrement dit, elle devra respecter
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