Le Liban dans l’expectative après la révolution syrienne
Islam
A la différence de Riyad, Amman ou Bagdad, Beyrouth n’a pas pris l’initiative rapide d’envoyer de délégation officielle en Syrie depuis l’avènement du nouvel homme fort de Damas, Ahmed Al-Charaa, issu des rangs des puissants rebelles islamistes de Hayat Tahrir Al-Cham qui ont renversé le régime de Bachar Al-Assad le 8 décembre. Le Liban a quelques excuses. Le bouleversement politique en Syrie s’est produit alors qu’il avait d’autres priorités : après deux mois de guerre, une fragile trêve entre
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