En silence ou avec fracas, l’art subtil de la démission
E n mai, après avoir longtemps vécu heureux dans un cockpit, le pilote de ligne Yann Woodcock publiait sur le réseau professionnel LinkedIn un long texte dans lequel il expliquait pourquoi il avait décidé de quitter l’aéronautique : « Je pars car j’ai pris conscience de l’ampleur de la catastrophe climatique et de l’effondrement du vivant. Ainsi, je ne souhaite plus être partie prenante d’une industrie contribuant de manière significative au problème. » Ce départ, que l’on imagine assorti d’un
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