« Ravage », sur Netflix : l’ambigu plaisir de la violence outrancière

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Les enfants sont couchés, le conjoint pacifiste aussi. Avant d’entamer une nouvelle semaine (ou presque, nous sommes en mai) de labeur, il est temps de se défouler. Il faut encore répondre à la question centrale que pose Ravage : à quel niveau sonore peut-on régler la bande-son ? Fort, bien évidemment, sinon, comment profiter des explosions, des cris de douleurs, du bruit de la tôle qui se tord ? A moins de disposer d’une salle de visionnage particulièrement isolée, la réponse se trouve sans

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