Chez Orange, un climat syndical délétère, entre votes contestés, plaintes, corbeau…

Tiberiu Sabo

C’est une situation inédite pour un groupe de cette taille, qui plus est détenu en partie par l’Etat. Pour la deuxième fois de l’année, des élections professionnelles risquent d’échouer chez Orange. Alors que 133 000 salariés et anciens salariés de l’opérateur télécoms étaient appelés à élire, du mardi 19 au jeudi 21 novembre, leurs douze représentants au conseil de surveillance d’Orange Actions, le fonds commun de placement d’entreprise qui détient 7,5 % du capital (12,10 % des droits de vote),