Au Panorama du cinéma colombien, le père et le fils, la femme transgenre et le poète
Ana Maria Rus
C’est au rythme des grands festivals (Berlin, Cannes, Venise, Saint-Sébastien…) que l’on mesure la singularité du cinéma colombien, régulièrement primé. Et c’est au Panorama du cinéma colombien, porté par l’association Le Chien qui aboie, que l’on peut découvrir ces œuvres, et bien d’autres, jusqu’au dimanche 19 octobre, dans deux salles parisiennes, L’Arlequin (6 e arrondissement) et le Reflet Médicis (5 e ). Outre une sélection de courts et de longs-métrages, des œuvres issues plus largement
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