« Les attentats à “Charlie Hebdo”, c’est aussi une censure radicale, aux conséquences lourdes pour la culture »
Bianca Popa
L es 10 ans du massacre à Charlie Hebdo sont commémorés par un concert de bonne conscience, un bal des faux culs et des larmes de crocodile. La vérité est que ce journal satirique est seul. L’équipe dessine et écrit dans un bunker, entourée de policiers armés, dans une solitude indifférente. A l’extérieur, ce n’est que « silence de cimetière » , dénonce Fabrice Nicolino dans le numéro du 7 janvier. Faut-il être aveugle ou naïf pour ne pas voir le décalage entre l’affichage et la réalité ? Un
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