A Marseille, l’Etat refuse de voir dans l’assassinat de Mehdi Kessaci un « échec collectif »

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Une semaine après l’assassinat en plein jour du jeune Mehdi Kessaci, 20 ans, qui a laissé Marseille en état de sidération, l’Etat s’est déplacé en force jeudi 20 novembre dans la deuxième ville de France. Sans véritable annonce forte, sans grand plan de lutte, mais en affichant une volonté de fermeté et de continuité dans le combat contre le narcotrafic. La visite du ministre de l’intérieur, Laurent Nuñez, et du garde des sceaux, Gérald Darmanin - en attendant le déplacement d’Emmanuel Macron