Au procès de l’attentat de Condé-sur-Sarthe, la difficile reconstruction de deux gardiens de prison : « Je suis dans un service administratif aujourd’hui »
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Il y a mille et une façons de survivre à un attentat terroriste, mille et une blessures à panser, mille et un chemins pour tenter de reprendre le cours d’une vie. A chaque procès d’attentat, les parties civiles viennent déposer, avec leurs mots, le long calvaire qui les a conduits du fracas d’une bombe, du sifflement des balles ou de la morsure silencieuse d’une lame jusqu’à la barre de la cour d’assises spéciale de Paris. Jeudi 12 juin, ce sont deux agents pénitentiaires qui se sont relayés à
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