Au Brésil, les ânes décimés pour fabriquer un remède de la médecine traditionnelle chinoise

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Au Brésil, les ânes étaient autrefois considérés comme les « frères » de la population du nord-est du pays, d’après les paroles de Apologia Ao Jumento (« excuses à l’âne »), une chanson écrite en 1968 par l’artiste populaire de la région, Luiz Gonzaga, en leur hommage. Ces animaux dociles et résilients, arrivés dans le pays dans les bateaux des colons portugais au XVI e siècle, ont longtemps été indispensables aux paysans, tant pour porter des charges que pour labourer la terre. Selon l’ONG