« Quand on a travaillé dur pendant deux ans, c’est légitime de viser le meilleur » : la fracture entre les écoles de commerce réputées et les moins cotées
Educatie
Quand Jules (le prénom a été changé à sa demande) a été admis à l’Essec en juillet, il n’a pas eu à aller voir son banquier. « Par souci d’égalité, mes parents m’avaient promis de me payer mes études comme ils l’avaient fait pour mes frères et sœurs avant moi » , confie le jeune Versaillais de 20 ans. Mais la facture s’est avérée plus salée que prévu. « C’est 60 300 euros pour quatre ans, soit 30 % de plus que ce qu’ils avaient dépensé pour ma sœur à l’Edhec il y a six ans » , calcule Jules,
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