Vertu et Rosalinde , d’Anne Serre : autoportrait envoûtant
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CRITIQUE - En trente saynètes et une foule de personnages, l’auteur cherche à saisir les lois mystérieuses du monde. Le titre du roman à peine découvert, on se dit : ça sent le Ronsard, ça rappelle un air d’opéra baroque, ou ça forme écho avec un lied hivernal de Schubert. Puis on ouvre ce Vertu et Rosalinde , on lit les premières phrases, on tourne la page, on parcourt les paragraphes suivants : pas de doute, on est bien chez Anne Serre. C’est que l’auteur d’ Au cœur d’un été tout en or , prix
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