En Israël, une fébrilité extrême après deux ans d’attente de libération des otages
Donald Trump
Depuis deux ans, des gares de Tel-Aviv aux petites villes du Nord, de Jérusalem au Néguev et aux kibboutz proches de Gaza, dans les administrations comme dans les commerces, à l’arrière des voitures ou sur les écrans de télévision, les visages des otages du Hamas sont affichés partout. Des chaises vides sur des ronds-points ou des places publiques rappellent leur absence. Des écrans décomptent les jours de captivité. Des drapeaux jaunes sur les voitures et des rubans de la même couleur
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