"On provoque des accidents et on tue": des appels à légiférer pour sanctionner le protoxyde d’azote au volant, comme l’alcool et les stupéfiants
reclame
Après la mort d'un jeune homme de 20 ans, samedi 1er novembre, renversé par un chauffard soupçonné d'avoir inhalé du gaz hilarant, des associations de victimes et élus réclament en "urgence" une modification de la loi en vigueur. Actuellement, le protoxyde d'azote, détourné de son usage normal, n'est pas considéré comme un stupéfiant. Il s'agirait d'"un angle mort juridique". Ce n'est pas la première fois que le député (Ensemble pour la République) de la 10e circonscription du Nord, Vincent
din zilele anterioare